Projet : HUMANITÉ
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-55%
Le deal à ne pas rater :
Coffret d’outils – STANLEY – STMT0-74101 – 38 pièces – ...
21.99 € 49.04 €
Voir le deal

Partagez|

Ezra Mildred Pond ♦ The man who just want to live.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Ezra M. Pond
AGENT DU S.H.I.E.L.D.

Ezra M. Pond


Bulles de dialogues : 9
Date de création : 04/10/2012

Ezra Mildred Pond ♦ The man who just want to live. Vide
MessageSujet: Ezra Mildred Pond ♦ The man who just want to live. Ezra Mildred Pond ♦ The man who just want to live. EmptyJeu 4 Oct - 20:32


Ezra Mildred Pond

« Find what you love and do it for the rest of your life. »
• Prénoms; Ezra, Mildred • Nom; Pond • Date & lieu de naissance; 1992, quelque part en Ecosse • Âge; 28 ans • Race; humain • Pouvoir; aucun • Autre; doté d'une intelligence remarquable • Groupe; S.H.I.E.L.D.

PV Scénario Inventé


D'autres informations.

À QUOI TU RESSEMBLES ?


Les cheveux châtains, courts, mi-longs ou longs à sa guise, mais toujours ondulés limite bouclés. Parfois domptés, mais jamais complètement, c'est un peu le style "coiffé mais j'ai l'air décoiffé", sauf qu'Ezra ne passe pas des heures à entretenir ses cheveux le matin devant son miroir. Les yeux marrons, un nez banal et une bouche qui l'est tout autant. La barbe de quatre jours sur un "costard cravate", parce-qu'après le rasage il perd dix ans d'âge et toute crédibilité dans son boulot. Les costumes, la cravate, mais pas de noeud pap', hormis pour les occasions. Pas qu'il trouve ça ringard, mais il n'a jamais le temps de les attacher. Les jours sans boulot c'est un style plus décontracté qu'il adopte. Hipster dans l'âme, ses chaussettes dépareillées à motifs ne sont absolument pas too much, ni même ringardes. Des converses vertes, un jean retroussé, le gilet que portait peut-être son grand-père, mais trois tailles en dessous. Sauf que son grand-père n'avait aucun goût, oublions la référence anecdotique. La tignasse mal coiffée, sans aucun entretient contrairement à ses jours de boulot, les cernes marqués, le regard perdu... non pas perdu, pensif plutôt, dans sa bulle, dans son monde à lui, celui qu'il garde et défend des autres, du reste.

ET TON COMPORTEMENT ?


Il est comme la princesse au masculin enfermé dans sa tour d'ivoire, et son propre gardien en même temps. Doux, gentil, pensif, dans son monde... Oui, dans son monde surtout, un monde qu'il ne faut absolument pas toucher, que dis-je frôler ou il sort les grilles, montre les crocs, devient hargneux et agressif. Il aime la solitude, le calme, la bonne compagnie plutôt que trop de compagnie. Il est fermé, secret, torturé. Il est impassible, intelligent, toujours de bon conseil, parfois attentionné. C'est selon son humeur, selon ses envies, selon la personne. Il regrette souvent, mais pas longtemps, du moins c'est rare. Il n'est pas opportuniste, du moins intelligemment. Il le bon vin et surtout le bon thé, les romans, les chefs-d'oeuvres. Et puis la musique, qui rythme sa vie. Il aime profiter, mais surtout profiter de sa bulle, de crainte qu'un jour elle n'explose ou ne s'évapore, tout simplement. Il a deux facettes, il est le prince prisonnier, seul et heureux, et son gardien, qui n'est contre aucune forme de violence, qui ne se contrôle pas. Parce-qu'il est un coeur brisé, qui tente par tous les moyens de se protéger.


QU'ES-TU ?


Je ne suis qu'un simple humain...

QUEL EST TON POUVOIR ?


... et non mutant qui plus est.


La grande histoire.

« J'ai tout essayé, je suis resté des heures devant, à me torturer l'esprit, à chercher, à taper dans le vide. Mais la page ouverte sur mon écran est restée immaculée. Alors je suis sorti, histoire de m'aérer un peu, pensant que cela pourrait m'aider à trouver l'inspiration, mais rien n'y a fait. RIEN JE TE DIS ! » Et j'avais peur, peur de ce qui allait arriver maintenant. J'avais vendu un livre qui ne paraîtrait jamais car jamais il ne serait écrit, j'étais dans la merde jusqu'au cou. Pourquoi peser ses mots lorsque tout va mal ? Je n'avais aucun talent, des diplômes certes, mais aucun talent, pas même celui de l'écriture. Mon premier bouquin n'était qu'un coup de chance, une terrible erreur. J'étais endetté désormais, et bientôt seul. Je pétais les plombs, m'en prenant à elle, elle qui ne méritait rien d'autres que les plus douces attentions du monde. « Ezra... Calme-toi. Ce n'est pas si grave, tu as encore un peu de temps, fais autre chose, prend au moins le temps de te reposer un peu. » Et elle m'avait ouvert ses bras, m'offrant quelques minutes de détente la tête enfouie dans sa poitrine. Sa présence m'était bénéfique et indispensable, et pourtant. « Je suis en train de te dire que je n'ai plus le temps, plus le temps pour me reposer, et encore moins pour ça. Et toi tu veux folâtrer, et toi tu veux que je m'amuse avec toi. Mais tu m'écoutes des fois ? » Et pourtant je l'avais repoussée, je l'avais blessée, et immanquablement, j'avais fini par la faire fuir.

Une douleur lancinante et bien peu supportable au crâne, je me réveillai, les touches de mon clavier encore imprimées sur ma joue. Ma page était toujours immaculée, mon esprit toujours aussi désert, mais désormais mon appartement l'était également. Je n'en ai pas pris conscience ce jour-là, de ce qu'elle pouvait bien représenter pour moi. Et elle était partie, m'avait abandonné, me laissant seul je n'avais plus que mes yeux pour pleurer. Si j'avais pu comprendre tout ça avant, je l'aurai abandonné, ce bouquin, et tout le reste avec, juste pour la retrouver. Je ne suis pas si intelligent que ça, finalement, un QI vaut bien peu de choses.

-------------------------

« Laisse-moi tranquille. Dégage je te dis ! J'en ai marre d'être pris pour un con alors maintenant ferme ta grande gueule et casses-toi ! CASSES-TOI ! » Planqué au fond du placard de ma chambre, les genoux repliés et les larmes aux yeux, je souhaite de toutes mes forces que tout s'arrête. Effrayé, des larmes se frayent un chemin le long de mes joues alors que des sanglots silencieux s'emparent de tout mon corps. Et je l'entend crier, insulter. Il a encore bu plus que de raison, et elle n'y peut rien si ce n'est se mettre entre lui et moi. Et j'entend un coup, une claque certainement. Elle hurle, s’époumone de douleur, me fend le coeur. Un bruit sourd et puis plus rien. Et si je n'avais pas eu cette enfance, est-ce que je l'aurai quand même connue ? Ou est-ce que j'étais de toute façon destiné à la perdre, mon âme soeur ?

-------------------------

« Tu connais l'histoire d'Isobel et d'Ezra ? » « Non, qu'est-ce que ça raconte ? » « Isobel était une toute jeune femme, jolie elle usait de ses charmes pour survivre. Elle passait beaucoup de temps en compagnie d'hommes bien plus âgés qu'elle, leur donnant un aperçu de sa beauté, mais ne leur offrant jamais son corps qu'elle voulait garder pur. Elle était bien seule, voyageant de villages en villages pour ne pas se faire connaître. Un jour, elle arriva dans un village ou nul ne mettrait les pieds s'il n'y était pas contraint. Isobel était effrayée bien sûr, mais elle était aussi affamée et fatiguée. Contre toute attente, en entrant dans une auberge, elle y rencontra un charmant vieillard. Elle lui proposa alors de passer un peu de temps en sa compagnie s'il lui offrait un repas et une couche pour la nuit. Il allait accepter, lorsqu'un homme bourru arriva et se mit devant lui, lui demandant de lui laisser la "jolie poulette" pour qu'il puisse passer la nuit en sa compagnie. Isobel voulut s'enfuir, sachant l'idée que cet homme avait en tête, mais il lui agrippa le bras et voulut l'emmener dans l'une des chambres de l'auberge.» « Et il l'a jetée sur le lit, l'a déshabillée et l'a violée, comme une bête ! » avais-je dit, riant et me jetant sur ma bien aimée pour l'embrasser dans le cou. « Mais laisse-moi terminer, voyons ! C'est la fin qui est intéressante ! » m'avait-elle répondu, riant à son tour et se laissant faire. Je m'exécutai alors, non sans lui avoir volé un baiser avant de la laisser finir. « Merci. Donc l'homme bourru voulut l'emmener avec elle, mais le charmant vieillard ne l'entendit pas de cette oreille. Se levant, Isobel vit qu'il n'était pas si vieux qu'il ne pouvait le paraître, et il se mit en face de cet homme qui avait bien de mauvaises idées derrière la tête. Il n'ouvrit pas la bouche, et n'en eut pas besoin. Sous leurs yeux, il se métamorphosa en un bel Apollon jeune et musclé. Le maintenant jeune homme profita de l'effet de surprise produit par son tour et terrassa le "kidnappeur" avant de s'approcher de la jeune femme qui était partie se cacher, effrayée. » « Je parie que c'est un mutant ! » m'étais-je exclamé sans m'en rendre compte. « Mais tu ne peux pas t'en empêcher ma parole ! J'y viens, laisse un peu de suspens... Il s'approcha d'elle et se présenta. Il s'appelait Ezra, et il lui expliqua qu'il veillait sur elle depuis bien des années. Chaque homme avec qui elle avait passé du temps, s'enfuyant à chaque fois avant que la situation n'en arrive à un point qu'elle ne voulait imaginer, il lui avoua alors que c'était lui, prenant une apparence d'homme plus âgé, plus poivre et sel ou plus bedonnant pour qu'elle ne le reconnaisse pas. Il lui expliqua qu'il était atteint d'une mutation peu commune, il pouvait se vieillir ou se rajeunir à sa guise, jouer avec la couleur de ses cheveux ou encore la corpulence de son corps. Il était son protecteur depuis la première fois qu'il l'avait vue, tombant amoureux d'elle mais sachant qu'elle repousserait ce qu'il était, il avait choisi ce moyen pour être près d'elle. Et elle qui avait pourtant si peur des mutants lui sauta au cou et l'embrassa, car elle vit en lui autre chose qu'une simple mutation, mais un coeur pur qui venait de lui prouver son amour. Il était son âme soeur. » « Je suis ton Ezra, je te protège de tous les dangers et je t'aime à en mourir... ! » lui avais-je dis en l'embrassant passionnément. « Et moi je vois autre chose que le vilain petit mutant bien trop intelligent en toi, tu es mon âme soeur ! » m'avait-elle rétorqué avant de me rendre mon baiser. Des âmes soeurs... Tu parles ! Tu m'as abandonné, tu m'as fui comme on fuit tout ceux atteints d'une quelconque mutation pourtant.

-------------------------

Six mois que j'errais seul dans cet appartement désormais trop grand pour moi. Et cinq que j'étais officiellement au chômage et endetté. Chaque jour je tentai, ouvrant une nouvelle page sur mon ordinateur, et chaque fois le curseur clignotait sur la première ligne jusqu'au soir. Pourtant une idée m'obsédait, hantant mes rêves je la revoyais chaque nuit me conter cette histoire de princesse en détresse sauvée par un mutant. Non pas que l'histoire m'inspirait pour un nouveau bouquin, mais plutôt que les mutants m'intriguaient de plus en plus. J'avais envie d'en savoir plus encore à leur sujet, de comprendre ce qui leur arrivait, jusqu'où les mutations pouvaient aller, s'ils étaient réellement si dangereux que le gouvernement voulait bien le dire... Alors j'ai commencé mes recherches, ai appris énormément de choses à leur sujet. Cela dura des mois, des mois d'informations que j'ingurgitai sans grand mal, bien au contraire, apprendre m'avait toujours paru si facile. J'ai approfondi mes recherches, trouvant des données classées confidentielles par l'état lui même. Ma soif de savoir me poussa même à pirater les bases de données d'une certaine société nommée "S.H.I.E.L.D.". Absorbé dans mes recherches, je ne me doutai pas un seul instant de ce que j'avais bien pu faire, ni de qui ils étaient. Mais lorsque j'ouvris leurs dossiers, je me sentis bien stupide.

-------------------------

Au final, pirater le S.H.I.E.L.D. ne m'avait pas apporté autant d'informations sur ce que je recherchai que je l'aurai voulu. Axés sur les super-héros, l'espionnage et le terrorisme, j'avais très vite compris que j'avais certainement déjà été repéré, moi petit humain trifouillant dans leurs données, et qu'ils pouvaient arriver à tout instant pour m'arrêter. Haletant effrayé à cette idée, je me décidai soudain à expirer un bon coup et à me relaxer en les attendant, si un jour ils venaient à arriver, car en regardant l'une des photos de mon Isobel qui traînaient encore sur mon bureau, je me suis souvenu que je n'avais plus rien à perdre.

-------------------------

« Et toi, comment ils t'ont recruté ? Tu nous l'as jamais dit. Ils t'ont espionnés durant des jours avant de se décider à t'appeler toi aussi ? À la sortie de la fac ? » Elle me posait toujours des questions auxquelles je n'avais pas envie de répondre. C'était comme si elle avait un sens qui lui permettait de savoir quelle question poser pour me mettre mal à l'aise. Mais à force de la voir passer dans mon bureau chaque jour ou presque, j'avais appris à la connaître, et savais que je pouvais plus ou moins lui faire confiance. Après tout, nous travaillions pour le même groupe. « On peut dire ça... » Mais j'étais gêné et avais encore honte de ce que j'avais bien pu faire, même si désormais j'obtenais mon salaire chaque mois grâce à ça. « Ils ont mis quelques jours à venir me chercher oui, et je pense aussi qu'ils ont épluché ma vie toute entière avant de frapper un matin à ma porte. Mais... Oh j'ai des tas de diplômes c'est vrai, tous inutiles d'ailleurs, mais ce n'est pas pour ça que je les intéressai. » « Quoi, t'es super intelligent ! Tu vas pas me dire qu'au départ ils t'ont raté, un gars comme toi... » « L'intelligence sert juste à... à rien au final, si ce n'est se penser supérieur, et c'est d'ailleurs ce qui rend toute personne soit disant plus intelligente beaucoup moins évoluée tout à coup ! Non, je n'étais pas le genre de personne à laquelle le S.H.I.E.L.D. peut s'intéresser à la sortie des facs. J'étais écrivain. Du moins, je pensai l'être. Et puis j'ai tout perdu, et je ne sais trop pourquoi, je me suis intéressé aux mutants. » Je ne savais pas si j'avais raison de faire ça, de lui déballer ainsi la moitié de ma vie, mais après tout, pour une fois dans ma vie, j'avais quelqu'un qui s'intéressait à moi, alors j'ai continué. « C'en était presque devenu maladif. Chaque jour, j'allumai mon ordinateur, et je surfai sur le net à l’affût de la moindre informations nouvelle. J'étais très doué pour trouver ce que je cherchai. Je me suis d'ailleurs constitué un énorme dossier sur le sujet, et le clou dans tout ça, c'est que je le connaissais par coeur. » Relevant les yeux vers elle, je vis qu'elle buvait mes paroles, avide de connaître la suite elle me pressa de continuer avant même que je ne me rende compte que je m'étais arrêté. « J'ai commencé à pirater pour avoir les informations que je voulais. De plus en plus confidentielles, des projets et leurs plans entièrement décris du début à la fin s'étalaient devant mes yeux. J'étais comme un dingue, dingue de voir enfin les mutants sous leur vrai jour, et l'état tel qu'il était vraiment par la même occasion. Toutes ces expériences secrètes, tout ces cobayes... Et puis je suis arrivé dans les données du S.H.I.E.L.D. Oh, ça n'avait pas grand chose à voir avec les dossiers secrets du gouvernement, mais je ne sais pas, de fil en aiguille, j'avais atterri là. » « Tu as... piraté la base de données du S.H.I.E.L.D. ! » Elle ne semblait pas y croire, s'exclamant à la fois avec stupéfaction et admiration. Mais en même temps, je vis dans ses yeux qu'elle me prenait pour un dingue, inconscient, complètement fou d'avoir ne serait-ce que penser à faire ça. « Oui, j'ai piraté le S.H.I.E.L.D. Et tu vas me dire ce qu'ils ont commencé à me dire au début, lorsqu'ils sont arrivés chez moi. "C'est impossible de nous pirater, notre système est le plus sûr au monde, sans faille, des hommes travaillent jour et nuit pour garantir la sécurité de nos informations." Mais ils ont ajouté, "Pourtant, vous l'avez fait." Et tu sais, à ce moment là je n'étais vraiment pas fier. À ce moment là, j'aurai tout donné pour pouvoir être ailleurs que face à eux. Et jamais je n'aurai pu imaginer que mes connaissances quasi complètes en matière de mutants et mes capacités de piratage puissent me donner un job dans cette société qui lutte contre ce que je venais justement de faire. » Jamais je n'aurai pu imaginer que ma vie prendrait un tel tournant, jamais je n'aurai pu penser, ne serait-ce qu'une seconde, que ma vie dépendrait d'une fille et de sa petite histoire qu'elle m'aurait conté un soir, vulgairement assis sur un canapé devant une télévision à l'image pixelisée.

Un peu plus sur toi.

• Prénom/pseudo; TheGirlWho'sWaiting
ToBecomeGinger.
• Âge; 18 ans.
• Pays/Région; P.
• Fréquence de connexion; unknown/7
• Double compte; unknown.
• Comment as-tu connu le forum; unknown.
• Autre; unknown.
• Avatar; unknown Matthew Gray Gubler.
• Code du règlement;

FICHE CRÉÉE PAR STILLNOTGINGER. POUR P:H.
Revenir en haut Aller en bas

Ezra Mildred Pond ♦ The man who just want to live.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Projet : HUMANITÉ :: 1. INFORMATIONS :: ID Cards :: Les Approuvées de Big Brother-